Cornélius & Zira Lyrics

Lubluyu tebya, lubluyu tebya

Quand elle m'a quitté j'agissais pas si mal

J'essaye d'être un type bien, à chaque fois "Spaciba" ou même lubluyu tebya

Lubluyu tebya, lubluyu tebya

Quand elle m'a quitté j'agissais pas si mal

J'essaye d'être un type bien, à chaque fois "Spaciba" ou même lubluyu tebya

Rappeur semi-pro avec publique absent

J'insulte en polonais avec pudique accent

Boire de la vodka ça purifie pas l'sang

Tu peux m'croire, ça n'a pas d'sens et le temps passe

J'ai vesqui les tempêtes et les impasses

Lève la barrière que mes zins passent

Y'a des bat' en briques rouges, pas d'industrie minière

Nice c'est pas Italien et ça date pas d'hier

J'ai vu Jungle Jack sur la colline de l'est

Les alcooliques du bar chantent des comptines de l'est

Faut qu'j'arrête de m'attacher quand une femme me donne un p'tit peu d'attention

J'suis pas fou attention *attention* j'me fais juste du mal avec des faux départs

Les faux espoirs c'est trop, j'les bois comme l'acétone

Dites à l'équipe de couper le rec faut qu'on change le scénar

Chaque automne c'est la même story

Un putin d'ego, mais je sais quand dire sorry

Ça bouclera La School et Les folies bergères

L'industrie est tellement saturée que le Rap a bégère

Remplir un Bercy c'est une place qui vaut cher

Y'a des intellects qui se délectent des sons, et puis des fans de rap qui n'ont rien dans l'veau-cer

Lubluyu tebya, lubluyu tebya

Quand elle m'a quitté j'agissais pas si mal

J'essaye d'être un type bien, à chaque fois "Spaciba" ou même lubluyu tebya

Lubluyu tebya, lubluyu tebya

Quand elle m'a quitté j'agissais pas si mal

J'essaye d'être un type bien, à chaque fois "Spaciba" ou même lubluyu tebya

J'veux un ple-cou comme Cornélius et Zira

Mais lecher mes bottes, ça remplacera pas l'cirage

Et brûler nos photos détruira pas l'tirage

La mort peut sévir en un virage, l'amour peut surgir en un mirage,

Le cauchemar d'une vie peu sourire sur un visage

Faut qu'j'arrête de fumer ça m'empêche manger

Faut qu'j'arrête de penser ça m'empêche de dormir

Les Chroniques d'un Automne, c'est des larmes sous la puchka

C'est des goutes qui tombent sur les тушка

L'équinoxe dans la brousse dans les campagnes de l'est chez бабушка.

Ta critique constructive tu peux t'la foutre où j'pense, toujours un truc à dire pourtant tu sais pas l'faire

Les fanbases sont toxiques, t'inquiète c'est pas qu'en France

J'ai la mentale en fer

Canicule, canapé, c'est fini, un phillis, callumé d'la paix

L' automne j'l'attendais fort, quand tu rappes met des formes, quand la tristesse revient ça m'donne de quoi rapper

Ça m'donne de quoi rapper, mes katas c'est so-per, écoute bien mes

ceaux-mor, car j'y mets tout mon cœur dans tout mon karaté

Gros y'a plus qu'à rapper

Et j'ai pas d'quoi rater

Lubluyu tebya, lubluyu tebya

Quand elle m'a quitté j'agissais pas si mal

J'essaye d'être un type bien, à chaque fois "Spaciba" ou même lubluyu tebya

Lubluyu tebya, lubluyu tebya

Quand elle m'a quitté j'agissais pas si mal

J'essaye d'être un type bien, à chaque fois "Spaciba" ou même lubluyu tebya