Au crépuscule

Au crépuscule, le chemin s'achève, les nuées s'élèvent

Un chant de tristesse, un hurlement long, mon cœur sans abri

Au crépuscule, les nuées, doucement voilent le ciel

Une mélancolie diffuse, silencieusement s'infiltre dans mon âme

Chaque nuage, porte un serment d'antan

Sous le dernier rayon du soleil, se transforme en une pensée sans fin

L'obscurité s'épaissit, les nuées, un rêve

Le souvenir dans mon cœur, doucement se balance

Ces rires passés et ces larmes

Maintenant, ne restent que de douces tristesses et confusions sans fin