Sournois Lyrics

Sournois - DDF Djibril

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Y’a les bons, y’a les faux, y’a les fous, y’a les poux, y’a les vrais et y’a les sournois

Ceux qui disent qu’ils t’aiment mais quand il des problèmes, c’est chacun pour soi

Mon flot, mon style, Djibril est le best mais alors pourquoi

T’es abonné à ma page, tu m’envoies des messages, tu ne me connais pas

Bande d’hypocrites, moi je dis que vous n’êtes qu’une bande de putois

Ça sent le soufre même au téléphone, tu deconnes ça c’est plus toi

Je dois dire J’aurais dû m’en apercevoir beaucoup plus tôt

À la manière dont tu voulais toujours m’arracher le micro

Je suis le vase, toi t’es un nase, la trahison c’est la goutte d’eau

Mes rimes qui déciment sans qu’il n’y ait de crime ouais ça c’est le couteau

Mon flot est brutal je dois admettre que mes mots sont brutaux

Toi et tes gens vous êtes du bétail espèce de bestiaux

Même pas encore des porcs, vous n’êtes rien que des pourceaux

Tu perds ton temps à adorer des marigots et des ruisseaux

Eux-mêmes ont été créés, la vraie source est plus haut

DDFDJIBRIL, oui je suis de retour au micro

Trop facile pour Djibril, pour moi ce n’est qu’un tournoi

Pour toi c’est un big deal, tu te prépares pour le championnat

C’est méchant de ma part, le champion on le connaît déjà

Prends ton ballon et tes bougies, retourne jouer au Maracana

Tu sautes dans tous les sens moi c’est ce que j’appelle un sursaut

Sursois à toutes tes ambitions, je sais que t’es encore un puceau

Je débarque à Babi, je prends la clé et je prends aussi le trousseau

À Brooklyn quand tu ne vas pas assez vite, on dit que t’es too slow

Définition d’un homme sans intelligence on dit que c’est un nigaud

C’est du déjà vu, tes gens sont déçus, ouais y’a rien de nouveau

Explication plus simple moi je dis que t’as pas le niveau

T’es un Van Gogh Gorgui, Il manque de la couleur à ton pinceau

Ce que tu portes à la taille ce n’est pas un gun ça c’est un cerceau

La ou tu dors, ce n’est pas un lit c’est un berceau

(Cartier, Longines, moi je porte plutôt une Movado)

Quand je déballe la malle, je fais mal on me dit tché tu es mauvais deh

Tu ressembles au frère Dalton qui a réussi à s’évader

Qui que quoi dont où, intéressons-nous donc au pourquoi

Si on te calomnie, un conseil mon frère prends ça sur toi

C’est un compliment quand des imbéciles disent qu’ils ne t’aiment pas

Ils veulent ce que tu produis et pourtant eux ils ne sèment pas

Le grain dans la mauvaise terre, ils se mettent à vendre leur derrière

Raccourci dangereux pour faire avancer ta carrière

Aux dernières nouvelles, tu n’écrirais même pas tes propres sons

T’es un milli vanilli africain qui n’utilise que des prête-noms

Trop facile pour Djibril, pour moi ce n’est qu’un tournoi

Pour toi c’est un big deal, tu te prépares pour le championnat

C’est méchant de ma part, le champion on le connaît déjà

Prends ton ballon et tes bougies, retourne jouer au Maracana

Pas de moisson, trop de boisson

Je suis là canne à pêche, toi le poisson

Ta jalousie, c’est le poison

Rimes conscientes c’est la saison

Abondance, c’est la foison

Mon microphone c’est le tison

T’es le faisan qui sur un mensonge s’est bâti toute une maison

Quelques fois acide parce que le rap c’est le fruit de la passion

Ceux qui disent qu’ils sont les meilleurs moi je viens les faire taire

Ma mère m’a mis à la Pépinière, je ne ferai pas du terre-à-terre

DDF Impeccable, inarrêtable, imbattable, appelle-moi le vieux père

Qui veut la paix, doit être prêt à avoir plein d’adversaires

Pour ma part ce que je veux c’est que la Paix règne sur terre

Je me confie à mon père, mais pas à des collègues

Sur ton balai, t’arrives pas à décoller

Remets la main dans ta poche, faut pas déconner

Olé !

Trop facile pour Djibril, pour moi ce n’est qu’un tournoi

Pour toi c’est un big deal, tu te prépares pour le championnat

C’est méchant de ma part, le champion on le connaît déjà

Prends ton ballon et tes bougies, retourne jouer au Maracana