
S'il y a quelqu'un Lyrics
- Genre:Pop
- Year of Release:2024
Lyrics
On dit qu'il y a une force au-dessus,
Qui trace nos chemins, qui éclaire nos doutes.
Mais quand je regarde ce monde en ruines,
Je ne vois que des hommes qui s'égarent dans leurs doctrines.
Les croyances d'hier, où sont-elles parties ?
Des vérités qui meurent avec le temps qui fuit.
Eux aussi pensaient détenir la clé,
Comme un cycle sans fin, jamais brisé.
S'il y a un guide, pourquoi ces souffrances ?
Pourquoi ces innocents tombés dans le silence ?
Je ne vois pas de main qui contrôle tout ça,
Je vois des cœurs perdus, des vies sans éclat.
S'il y a quelqu'un, je ne pense pas qu'il veuille,
Qu'on s'agenouille ou qu'on suive des règles vieilles.
Peut-être qu'il préfère qu'on aime ce qu'il nous donne,
La vie, la lumière, tout ce qui résonne.
Aimer comme on aime ceux qui nous ont donné,
Le souffle, le temps, la force de continuer.
Des livres gravés, des temples dressés,
Mais des chaînes aussi, pour mieux les plier.
Chaque croyance persuadée d'avoir raison,
Mais où est la paix dans ces illusions ?
Et si la vérité n'était pas là-haut,
Mais dans nos gestes, dans nos mots ?
Tendre une main sans attendre un retour,
Vivre simplement, c'est ça l'amour.
S'il y a un plan, pourquoi tant de haine ?
Pourquoi des frontières et des lois qui enchaînent ?
Je ne crois pas qu'une force veuille tout ça,
Plutôt qu'on partage ce qu'on a ici-bas.
S'il y a quelqu'un, je ne pense pas qu'il veuille,
Qu'on s'agenouille ou qu'on suive des règles vieilles.
Peut-être qu'il préfère qu'on aime ce qu'il nous donne,
La vie, la lumière, tout ce qui résonne.
Aimer comme on aime ceux qui nous ont donné,
Le souffle, le temps, la force de continuer.
Et si on s'était trompé depuis le départ,
Cherchant trop loin ce qui est à notre regard ?
Pas dans un temple, ni dans une loi,
Mais dans la vie qu'on vit chaque fois.
Ils parlent souvent de ce qu'il y aura après,
D'un lieu parfait où tout s'arrête.
Mais à force de rêver d'éternité,
Ils oublient le présent, le vrai, le concret.
Les jours défilent, leurs yeux tournés ailleurs,
Vers un paradis forgé par leurs peurs.
Et pourtant, ici, sous leurs pieds,
La vie les appelle, mais ils semblent l'oublier.
Si tout ce qu'on a, c'est cette courte flamme,
Pourquoi l'éteindre pour une hypothèse calme ?
Je ne crois pas qu'on puisse mériter demain,
En fermant les yeux sur ce qu'on tient.
S'il y a quelqu'un, je ne pense pas qu'il veuille,
Qu'on s'oublie pour un rêve qui sommeille.
Peut-être qu'il préfère qu'on vive ce qu'il nous donne,
La vie, l'instant, tout ce qui résonne.
Aimer comme on aime ceux qui nous ont donné,
Le souffle, le temps, la chance de tout tenter.