Mal à la pensée Lyrics
- Genre:Pop
- Year of Release:2024
Lyrics
Ma solitude est ma constance
L'auto-destruction ma seule offense
Ma solitude est ma constance
L'auto-destruction ma seule offense
Ces scarifications qui n'existent
Que sous formes cérébrales
Telle une addiction qui garde en vie
Ceux qu'elle écaille
Le plaisir délaisse toujours ceux qu'il affecte
Les blessures sont les seules armes qui restent
Les regrets le seul charme d'un été
D'un été bon à oublier
Son hésitation trahissait son désir
Ses lamentations frémissaient dans l'ombre de ses plaies
Ils ne se réduisaient, réduisaient plus qu'à gémir
Mais ils ne s'excuseraient plus jamais
Un mal à la pensée
Constant et insensé
Une balle élancée
Puissante et balancée
Dans l'espoir de pouvoir se loger
Dans un esprit à présent condamné
À nager dans le noir
Épris d'un désespoir de croire
Encore en la lumière du soir
Je me rends compte à présent
Que tout ce qui paraissait évident
Chaque rencontre n'était que l'objet d'un accident
Je me sentais si pressé de blesser mon âme
Avec cette culpabilité
Désormais l'ennui s'est dressé
Au rang des plus précieuses qualités
Le plaisir délaisse toujours ceux qu'il affecte
Les blessures sont les seules armes qui restent
Les regrets le seul charme d'un été
D'un été bon à oublier
Son hésitation trahissait son désir
Ses lamentations frémissaient dans l'ombre de ses plaies
Ils ne se réduisaient, réduisaient plus qu'à gémir
Mais ils ne s'excuseraient plus jamais
Un mal à la pensée
Constant et insensé
Une balle élancée
Puissante et balancée
Dans l'espoir de pouvoir se loger
Dans un esprit à présent condamné
À nager dans le noir
Épris d'un désespoir de croire
Encore en la lumière du soir
Un mal à la pensée
Constant et insensé
Une balle élancée
Puissante et balancée
Dans l'espoir de pouvoir se loger
Dans un esprit à présent condamné
À nager dans le noir
Épris d'un désespoir de croire
Encore en la lumière du soir
Je me rends compte à présent
Que chaque détail était des plus importants
Chaque réveil formait mon inconscient
Je me sentais si pressé d'abréger ma souffrance
En lui trouvant un sens
Désormais lorsque je me perds, je pense
Et ne me retrouve plus à contre-sens