Les Fèves Lyrics

J'ai marché sans perdre espoir

Sous un ciel flamboyant j'réécris l'histoire

Et vu d'où je pars, j'aurais pu ne jamais revenir

Trop de faux départs, condamnent des avenirs

C'est de vous que je parle j'aurais pu ne jamais revenir

Trop de faux départs, condamnent des avenirs

C'est de vous que je parle, j'oublie pas les souvenirs

C'est là que tout s'déballe, les drames ne font que survenir

Fallait que je trouve une lueur, même au milieu du pire

Même au milieu des larmes, j'entends résonner les rires

Et quand j'entends tes pleurs, mon diable se met à sourire

Je connais ce qui te fait peur, je sais ce qui t'fait mourir

Toi, tu sais ce qui me fait vivre, ce qui me fait renaître

Je le vois chaque jour dans tes yeux, t'as rien besoin de promettre

Le temps fait prendre des rides, il te creuse les pommettes

La foie, quand j'vois les cieux, j'partirai comme une comète

Au milieu des constellations, je sais plus si je rêve

Est-ce mon cœur ou mon âme qui réclame une trêve ?

Les mots ces la Salvation, le roi fut parmi les fèves

Mon armure, c'est mon arme, mais le sang coule sur le glaive

Et dans ce silence profond, je laisse parler mes peines

Les étoiles se consument, mais mon combat s'entraîne

Les mots ces la Salvation, le roi fut parmi les fèves

Mon armure, c'est mon arme, mais le sang coule sur le glaive

Et dans ce silence profond, je laisse parler mes peines

Les étoiles se consument, mais mon combat s'entraîne

C'est de vous que je parle, j'oublie pas les souvenirs

C'est là que tout s'déballe, les drames ne font que survenir

Fallait que je trouve une lueur, même au milieu du pire

Même au milieu des larmes, j'entends résonner les rires

Et quand j'entends tes pleurs, mon diable se met à sourire

Je connais ce qui te fait peur, je sais ce qui t'fait mourir

Toi, tu sais ce qui me fait vivre, ce qui me fait renaître

Je le vois chaque jour dans tes yeux, t'as rien besoin de promettre

Le temps fait prendre des rides, il te creuse les pommettes

La foie, quand j'vois les cieux, j'partirai comme une comète

Au milieu des constellations, je sais plus si je rêve

Est-ce mon cœur ou mon âme qui réclame une trêve ?