NOBLED Lyrics
- Genre:Hip Hop & Rap
- Year of Release:2024
Lyrics
Avi
Je peux lire dans tes pensées à la seconde
Ou nos regards se croisent mon ami,
Toi, tu sais pas tout ce qu'on a mis,
Donc, je m'en bats les couilles de ton avis
Les chiennes de guerre et les bandits,
Les deux,
On les menotte
La vie n'est pas très rentable,
Pour quelques yé-bi ici on te l'ôte
Ces temps ci j'suis de plus en plus distant,
J'reste avec les miens, les résistants
J'peux pas trop avoir l'air hésitant
J'remercie le ciel pour mon existence
Depuis petit j'me dis que je suis condamné,
Parce qu'au bled la douleur est instantanée
Même si les ennemis ont gagné,
J'me bâterai encore pour des millions d'années
Le ciel attend nos prières
Mais sheytan les intercepte avant
Forcément que je suis fière,
Vu comment mon père a rejoint la France
Pour oublier certains de mes péchés,
J'mélange à l'Absolut
Pas le choix faut se dépêcher
Avant que l'obscurité devienne absolue
Bébé, j'sais que tu voudrais un peu plus de tendresse,
Mais moi, il me faut du gen-ar azizam,
Il faut que j'encaisse
J'ai pas le droit d'aller au bled,
Je prendrai un week-end en Grèce
Mes pensées sont de plus en plus noir,
Elles s'assombrissent entre elles
Ye
Je t'ai donné des roses et des épines
Toujours à la recherche de ce yé-bi,
Dans ma city,
Je bois comme un débile
J'suis pas blédard comme Papy,
Mais j'suis en claquettes comme lui
Quand il sortait la ceinture on se taisait,
Une tape sur la tête et j'allai au lit
Pendant que cette pétasse tourne,
Ma tête le fait aussi
Je pense à tout ce qui me fait du mal
Et ça devient des mélodies
J'pensais j'avais besoin de ça,
La vérité j'avais besoin de sous
Au bon-char jusqu'à six heure du mat',
Désolé aux voisins qui se plaignent en dessous
Le ciel attend nos prières
Mais sheytan les intercepte avant
Forcément que je suis fière,
Vu comment mon père a rejoint la France
Pour oublier certains de mes péchés,
J'mélange à l'Absolut
Pas le choix faut se dépêcher
Avant que l'obscurité devienne absolue
Bébé, j'sais que tu voudrais un peu plus de tendresse,
Mais moi, il me faut du gen-ar azizam,
Il faut que j'encaisse
J'ai pas le droit d'aller au bled,
Je prendrai un week-end en Grèce
Mes pensées sont de plus en plus noir,
Elles s'assombrissent entre elles