VOYAGE (VERSION OBS'KUR) ft. Obs'Kur Lyrics

1984, je débarque avec un cri strident au milieu de hurlements

J comprend rien de ce qui se passe apparemment

Quelques temps plus tard, on rejoint l'appartement

Puis bébé devient l'enfant plein d'interrogation

Aucune réponse à ces questions, si ce n'est la négation et la désorientation

Attention au moment de l'adolescence, ça part dans tous les sens, tout en temps muselant sa conscience

Je crois que c'est ça le concept, le fait qu'on accepte de naître dans un monde malhonnête sans en être à la base

Personne ne nait mauvais, mais on le devient c'est naze et la vision positive de l'avenir s'embrase puis s'efface C'est bête, les erreurs fait squattent dans ma tête

Et peut être que j'aurais pu vessqui si j'avais su que cette voie était sans issue

Trop souvent déçue jusqu'à en croire que j'en étais déchu

Des sous pour en déchirer mes poches, c'est ce que mes proches et moi on avait dans la caboche depuis qu'on était mioche

Ancrés dans la débauche

Nous, on prenait la route de gauche, mauvaise direction, on s'en battait les couilles des interdictions

Vocabulaire et diction vulgaire « Nique sa mère », ma jeunesse te pousse serrer les fesses

C'est les mêmes qui t'agressent, brûlent ta graisse à te faire cavaler

La pilule est trop dure à avaler quand on voit les larmes amères couler sur les joues de nos mères soûlées

Je suis en voyage que de passage Voyage

je suis en voyage que passage, voyage

Je suis en voyage que de passage Voyage

je suis en voyage que passage, voyage

moi jsuis en voyage que de passage

J'ai pris à balle le virage loin de Baal et de ses mirages

Ouvrez vos mirettes et vos esgourdes, ils nous laissent les miettes et l font de la gourde

tel les petits chiens sous la table, affables, on se nourrit

Considérant le travail de la fourmi, loin des paresses de masse

Nos prouesses proviennent de la promesse inviolable

On amasse des richesses introuvables dans le sable

Descendant des étoiles, je lève les yeux vers les montagnes et d'où me viendra le secours

Le secours vient de l'Eternel qui a créé le ciel et la terre

On n'est pas des enfants de l'adultère, on fait taire les vipères

Au point où on en est rendu

C'est de l'abus de façon

On a vu qu'on est mal vu à la vue des vendus mordus qui se sont rendus loin du sentier de ceux qui sont restés entiers

Bienheureux, qui procurent la paix

Les débonnaires, c'est nous

Les lépreux de ce millénaire comme fous face à ceux du hibou

Le feu sépara la rouille du fer

Retirons la paille des poutres, des yeux des frères

Tu dors ou quoi

Laisse moi faire mes affaires pour m défaire des fers de l'enfer sur cette sphère

Frère, tu dors ou quoi

Réveille toi

Réveille toi, car la fin approche Vite