Hackito-II Lyrics

J'allume ma flamme et je m'imagine en éternité,

regard mélancolique, comme Hachikō qui attend sa destinée.

Attendant celle qui prendra soin de lui.

Une pensée persistante, même aux heures froides.

L'amour une réalité ou une illusion ?

Je médite à chaque coucher de soleil,

Je me consume à chaque fumée qui s'échappe,

Prêt à exploser, la solitude qui me frappe.

J’attend sur le porche de la gare,

Le cœur déjà dans un cercueil, prêt à s'effacer.

J'attends simplement de revenir à la vie,

Mais cela ne se fera pas sans quelques défis.

Peut-être attendrai-je deux heures ou même vingt ans,

Jusqu'à la mort de mon âme.

Le bonheur peut-il persister ?

Ou bien serai-je emporté dans une fumée intense ?

Oh Hachikō,

J'aimerais avoir ta force,

Pour résister à cette solitude,

Survivre à ces roses, pleines d'écorce.

Oh Hachikō,

Si seulement on avait eu plus de chance.

J'allume ma flamme et je me perds dans l'infini,

Un regard triste, comme Hachikō, qui attend dans l'oubli.

L'amour, est-il toujours réel ?

Je me pose la question, à chaque coucher de soleil.

Je me tue à chaque bouffée de fumée qui s'échappe,

Au bord de l'explosion, la solitude comme une trappe.

Je me sens si seul,

Le porche de la gare, seul lieu où mon cœur se recueille.

J'attends, comme si mon cœur était dans un cercueil,

Attendant le retour à la vie, dans l'incertitude et le deuil.

Peut-être deux heures, peut-être vingt ans,

Jusqu'à la mort de mon âme, dans un ultime élan.

Le bonheur, peut-il rester pendant ?

Ou bien serai-je emporté dans un bang assourdissant ?

Dans tous les cas, la fumée finira bien par me prendre,

Dans un dernier soupir, un espoir qui me surprend

Oh Hachikō,

J'aimerais avoir ta force,

Pour résister à cette solitude,

Survivre à ces roses, belles en surface mais pleines d'écorce.

Oh Hachikō,

Si seulement on avait eu plus de chance.

Je veux plus vivre une éternité,

Je ne veux plus chercher une femme,

Elle ne sera pas dans une galaxie lointaine,

Ni dans un temps éloigné.

Pour moi, l'amour existe encore,

Ma confiance en moi grandit de jour en jour.

Je ne m'attache pas à tout ce qui me plaît,

Car la sincérité est aussi éphémère qu'un bonjour.

Je sais que la clope n'est pas ma seule alliée,

Elle aussi veut ma perte, mais je ne me laisserai pas effacer.

La fumée tue,

Mais les gens ne me veulent plus.

Alors pourquoi rester dans un monde,

Que je ne comprends de plus en plus.

Je veux plus vivre une éternité,

Je veux simplement être moi,

Naviguer dans ce monde sans complaisance,

Même si la vie est une danse hasardeuse.