Flash Lyrics
- Genre:Hip Hop & Rap
- Year of Release:2024
Lyrics
Je mani les mots comme un mage metrise les bâtons
Marmonnent ces mômes "plus tard je mange le maton"
A l'est ou a l'ouest
Il devi le navire, direct vers ces filles , les sirènes de Sephiroth
Les sirènes de Sephiroth
Les sirènes les sirènes de Sephiroth
La puissance créatrice, la dalle de Béatrice, demande l'antagoniste, détruire l'entrée d'la grotte
Détruire l'entrée d'la grotte
Détruire, détruire l'entrée d'la grotte
On débarque en calife, dans la main le canif, tailler la peaux et l'orge
Esteban les cités d'or
Le faucon, le condor, le flacon, l'exutoire
La cefor d'lex luthor, j'fais un flash au comptoir
J'fais un flash au comptoir
Y'a tout l'monde au comptoir
Y'a même mo au bar
Y'a Homer au bar
L'odyssée au bar
Tout les pauvres au bar
Y'a même Rick au bar
Y'a bojack au bar
La même rime au bar
La même vie au bar
Y'a même moi bar
Ce soir je cesse la tise, mais dans mon froc un flash
Je repasse au paki, pour prendre le stock de sprite
Tu ressasses toute ma vie, frelon t'es qui qu'je sache
Et renverse toute la lean dans la boisson qu'les sèche
Tu n'as pas toujours été là
Donc toute ton âme on va véla, ma lean va t'plaire essaie la
Même finalité si j'tema le F.L.A
Et fait le à d'autres, félée j'vais tédoi sous acide, C et puis MDMA
Salope on va t'véla, sale pute on va t'véla, j'vais t'vider comme un toseina
Un phéné, un phéné, enchainé, j'dis fuck la DA
On dit fuck la TS on réussira
A briser son verre comme les fesses d'Effira
Même armer ses frères comme les tess d'emirats
Comme les test k ultra, vider le L pour faire pousser les ailes et puis les laisser là
Et puis les laisser là
Ils vont tous les laisser là
Ils vont tous vous laisser là
Ils vont tous me laisser là
(Il vont tous me laisser là)
Ils ont prôné la mort et puis brûlé les corps
Comme un ange parti trop tôt a la morgue
Dansant sous les sorts des sorcières, des tours des soeurs jumelles
Des sirops, les sortileges, sortir, les sons d'sirenes
Assombrir ces ondes si veines, éclaircir ces ombres qui règnent
Écarter ces sales chimères a l'heure où la tise s'y met
Leur peuples furent décimés, errer sur les sentiers
Entendre leurs fils crier, sous les coups de lâche fouets
S'éteindre sous les peupliers, comme les cendres du cendrier
Je n'vois plus l'soleil briller, depuis qu'j'ai plus d'bières depuis qu'jai plus prier
Ça sort le bariller, voit la cervelle vriller
Une pomme du panier, un grain du sablier
Un lien du baudrier, la canne du sorcier
La lame en acier, son corps fut calciné
Ce soir je cesse la tise, mais dans mon froc un flash
Je repasse au paki, pour prendre le stock de sprite
Tu ressasses toute ma vie, frelon t'es qui qu'je sache
Et renverse toute la lean dans la boisson qu'les sèche
Elle fait la meuf devant les caméras
Mais en vrai tu poses moins de fleurs, que de postes sur insta
Je passe en scred derriere et je fais un doigt
Tu m'verras passer car ces verres m'font voir
La vie la nuit comme un jeux d'arcade posé khabat en car
Frelon taille le toncar, j'm'en vais errer si tard
J'me verrais bien six pieds sous terre
La lame ou la balle calée dans les viscères
Les clients j'vais pas visser, j'vais plutôt prendre une bière
Je prends le flash la pêche, le pétard la clope au bec
Comme Pablo ou un SDF
J'm'en fou tant que j'ai ses fesses
Le seul crevard du bar qui boit sa tise en balle qui tire ses taff en barre