![Mon ombre](https://source.boomplaymusic.com/group10/M00/12/03/85d8f45e785b4956ae7a91ddc5016340_464_464.jpg)
Mon ombre Lyrics
- Genre:Acoustic
- Year of Release:2023
Lyrics
Ah tiens, c'est encore toi?!
Toi qui me suis partout
Même le matin quand je pars tôt
Sur les trottoirs mouillés de Paris
Tu partages toute ma vie
Ma vue et mes trépas
Toi et tout tes atouts
Discrète comme un tapis
Tu t'étends autour de moi
Élégante dans ton manteau
Qui quand il m'habille me donne froid
Mélancolie sur un plateau
Je me retrouve sur un radeau
À ne pas savoir pourquoi
Ni comment sortir la tête des mots
De mes mauvais choix
La musique me tire vers le haut
Même quand tu me tires vers le bas
Comment prendre du recul
Sur les choses que l'on garde en soi?
La musique me tire vers le haut
Même quand tu me tires vers le bas
Comment prendre du recul
Sur les choses que l'on garde en soi?
Tu apparais sans prévenir
Tu sais choisir ton moment
Si ton but est de m'amenuir
Je sourirais autrement
Je m'isole sans aucune raison
Car au fond je n'ai rien à fuir
Tu t'effaces au fil des saisons
C'est donc ça à peu près mûrir
Tu apparais sans prévenir
Tu sais choisir ton moment
Si ton but est de m'amenuir
Je sourirais autrement
Je m'isole sans aucune raison
Car au fond je n'ai rien à fuir
Tu t'effaces au fil des saisons
C'est donc ça à peu près mûrir
Y'a pas un putain de matin
Où je suis heureux de me réveiller
Pourtant j'ai le mouvant dessin
De ces deux yeux à mes côtés
Les doutes me parviennent par essaims
Nuage noir qui colle au pieds
État mental en déclin
Vie non rentable comme destin
Tu le vois pas le ciel bleu
Les palmiers, le vent frais?
Faut faire quoi
Pour que tu me rendes
Mon sourire ensoleillé?
J'ai pas le droit
Moi aussi de m'en foutre
du monde qui pleure?
Pourtant j'aime pas l'humain
Alors pourquoi tout ça m'écœure?
Et ta silhouette reste la même sur les photos
Sombre, plate, triste, sans artifice
On ressemble de plus en plus à des robots
Normal qu'on ait de plus en plus de vices
Et ta silhouette reste la même sur les photos
Sombre, plate, triste, sans artifice
On ressemble de plus en plus à des robots
Normal qu'on ait de plus en plus de vices
Les jours comme ça j'ai pas envie d'écrire
Pleins de messages mais pas envie de les lire
Tout semble insurmontable
S'en est presque ridicule
J'ai pas de raison
Pour les larmes que je dissimule
Arrête de me mentir
À dire que je ne vais pas
De me faire ressentir une lumière sans éclat
As-tu toujours été la?
Viens-tu de ma génétique?
Sous tes airs faméliques
Tu m'emplis de ton voile maléfique
Magnifique est la nuit sans toi
Quand tu t'effaces quelques heures
Je respire à nouveau le bruit de mes pas
Étouffe celui de mes peurs
Je m'évade au grès des vents
Je détale au grès des rues
Je laisse mon esprit s'égarer
Pour ne pas qu'il soit perdu
Le jour je pense avec mon ombre
La nuit je danse avec les ondes
Le jour je pense avec mon ombre
La nuit je danse avec les ondes
Le jour je pense avec mon ombre
La nuit je danse avec les ondes
Le jour je pense avec mon ombre
La nuit je danse avec les ondes
Je rêve d'une barque où le monde m'échappe
Où les vagues m'embarquent
Jusqu'au pied d'une plage
Où le sable m'accueille de sa douceur
Où le ciel m'accueille de sa couleur
Mon état à ses crises
Que le temps aseptise
J'étudie ton profil
Sous toutes ses perspectives
Écrire m'aide a t'appréhender
Une éclaircie d'après ondée
M'envahit m'aide à te dompter
Vient redessiner ton reflet
La vie réelle m'encombre
Pensées néfastes en nombre
Dans le but qu'elles s'effacent
J'écris plus vite que mon ombre