Empires Lyrics
- Genre:Metal
- Year of Release:2024
Lyrics
Cavaliers et anges déchus, apportent, au jour, le glas
Terra Nullius clamé, les bottes ont soulevé la poussière
L'empire "prospère", sous la menace de la poigne de fer
L'humain est sa perte, privant les terres de ses pairs
Que disent nos pères, je n'espère pas qu'on soit acclamé
Quand frémit l'air, sous l'brasier de la conquête
Dans une nuit claire, dans le sombre bush
Un intrus nouveau, craignant pour son nouveau
terrain arrogé, sortit son arme, la lune vacilla
Au son d'un trait de lumière
Que de vanité chez l'humanité
Chevauchons vers notre destin
Chevauchons vers notre fin
Lourdes
Carnage exponentiel
Et pourtant
Elle nous laisse moins sages que la précédente
Désolation
Des ombres dans la nuit noire
Creusent leurs tombes de fortune
Cette folie intemporelle
Fléau des mœurs et des bonnes manières
Le sang, le fer et la fumée
Sont la monnaie courante
La langue parlée des lames chatoyantes
Chevauchons vers notre destin
Chevauchons vers notre fin
Émaciés
Le chant des souffrants
La nuée emporte
Leurs vies
Il se réveille il y croit encore que son corps à merveille se porte alors
C'est au nadir que se broie le noir, le vivant n'est plus ce que l'on croit
Dors
Sommeil profond
Il se réveille il y croit encore que son corps à merveille se porte alors
Les paris pris sont sans conséquences
C'est au nadir que se broie le noir, le vivant n'est plus ce que l'on croit
La rive lointaine
M'appelle encore
C'est dans les terres de Ceylan
Que part mon esprit scellant
Mon corps dans mon salon
Brisant mon élan, félon
Sur le sentier j'me sens lent
Ça fait cent ans que les frelons
Me bourdonnent qu'un fervent
rêvant me défend
D'accepter la mort