Ennemis Lyrics

Ennemis - Lord Samosa

...

Y’a pas de passe dans la rue

Pour les mogo qui yohisse

On fait le djai dans l’illegal évidemment

Qu’on aime pas game de la police

Violent comme dans les rues de Napoli

Écouter du Mali au Sénégal, de Paris à Montréal

Si t’as pas djai on te respecte pas (c’est réel )

On veut brasser comme les vieux père du gouvernement

Mettre la famille à l’abri du besoin

J’suis le Goat y’a pas un qui peut dire que je mens

Le premier qui se tchou j’vais le baiser

On est full, on vient chez toi en lêkê

Demande à KDT, demande à Williams

Ils n’ont pas de flow, ils ont pas d’esthétique

Des rappeurs de village, des rappeurs de campagnes

vulgaire et insolent, très souvent méchant

Les vieux père n’ont pas cœur, les vieux père sont maudits

Asso yôhô, pao c’est le mouvement, les vieux père sont pas dans game de OG

Lord samosa dans ce game pour les choqués

Rammène tous les modèles on mets dedans

Minimum c’est 500k pour le showcase, si t’as pas le djai faut pas perdre mon temps

Braaah….

J’connais mes amis, j’connais mes ennemis les fils de putes les morgô bizarre

J’fais rentrer le djai comme le FMI

J’fais rentrer le djai comme la FIFA

C’est la rue c’est léger , y’a pas état d’état d’esprit

C’est ta titulaire mais moi c’est ma tchiza

Je veux être une inspiration

Marquer toute une génération

Ma chérie sache que je t’ai jamais aimé

Si je reste le même après la séparation

(Jamais..)

J’fais pas de bénévolat, la charité ne paye pas de facture

En vérité rien a foutre d’avoir le buzz

Enfoiré j’le fais pour la culture

Le pera dans les veines

La frappe est lyrical

J’suis déter j’ai remis les crampons

C’est la ligue des champions y’a pas de match amical

Sur le rainté j’suis comme Éric Abidal

Violent Agressive j’suis comme un animal

On t’arrache la vie si tu parles mal

J’traine avec negros qui ont la même vision

Pendant que tu somo en tas, champion on se revoit dans dix ans

Souvent j’me demande si c’est suffisant

J’demande le succès dans mes prières

On m’as dit que les grandes choses se préparent dans l’ombre

Dans la cuisine j’ai éteint la lumière