Robert Paulson Lyrics

Prends plus la tête, j'ai

Conclu la fête, car tout est fini ici

Situe l'adresse, et

Sens tu la braise, feu pour une

Divine idylle

Tendu le piège, pas

Vendu la mèche, vis entre midi et minuit

Quand tu abrège, quand

Fendu la brèche, je vois que

Limite fictive

Jai vu le sang comme Alex de Kubrick

J'ai plus le temps pour les pensées lubriques

Adulescent court sans pensée unique

J'ai cru les gens pris des barbituriques

Tout est parti du risque Robert Paulson

Une partie du vice vient des grosses sommes

Ton solde en liquide tu consomme sans limite

Si notre sort est livide sort ton feu comme Lil Kim, brûle tout

Tu rêve de ciel étoilé

Regarder voie lactée jusqu'aux aurores

Mais tes soirée finissent tout le temps

Par une demi part de pizza et un no-por

Et la mort c'est dans nos cordes

Dès lors qu'elle m'a pris au corps

Le public t'honore la plupart n'iront même pas écouter la fin du ço-mor

Des milliers de plans que la nuit j'élabore

Regarde le sang qui s'enfuit de mon corps

Téma l'envers du décor ma vision je la donne

Je sais pas si c'est la bonne

Des faux prophètes camés sous méthadone

Les hommes veulent changer la donne

Mais nous sommes que des enfants apeurés qui dorment

Contre le corps des madones

La mort qui nous lie nos droits on est piqués tel diabète de niveau 3

Dans la vie fais ton choix, vois

Une histoire de rivaux comme entre De Niro et Ray Liotta

Ton visage posé sur une plaque de cuisson

Mauvais présage une flamme dans un buisson

J'ai calmé ma pulsion

Des perles lacrymales pour faire mes ablutions

Prends plus la tête, j'ai

Conclu la fête, car tout est fini ici

Situe l'adresse, et

Sens tu la braise, feu pour une

Divine idylle

Tendu le piège, pas

Vendu la mèche, vis entre midi et minuit

Quand tu abrège, quand

Fendu la brèche, je vois que

Limite fictive

Prends plus la tête, j'ai

Conclu la fête, car tout est fini ici

Situe l'adresse, et

Sens tu la braise, feu pour une

Divine idylle

Tendu le piège, pas

Vendu la mèche, vis entre midi et minuit

Quand tu abrège, quand

Fendu la brèche, je vois que

Limite fictive