Marécage - Spit du Spot #45 Lyrics

On a grandit dans les marécages, marées basses

Tu crois que c'est facile aller nage, hargne et rage

Comme seul allié, chevalier

Tu dois trouver ceux qui veulent ce rallier

À ta cause ,vos coeur sera lier

Mais prends garde au deux visages, plusieurs portent plusieurs masques

Sans moi j'vieillis seul, j'me porte mieux loin d'la masse

Faire semblant d'aimer une femme, sans verser une larme

Fera cent fois plus mal, qu'être transpercer d'une lame

Mais peu comprènent, à quel point l'amour blesse

Les notres perdent, le sens d'la noblesse

Faites preuve de respect par vos gestes

En quête de paix, pour que l'art progresse

J'ai ramé contre vents et marrées

J'ai ramené la force de vaincre une armée

T'es des notre, bois la tasse

Mais rappel toi d'une chose, la base c'est le partage.

Une femme qui t'aime, mais qui sais

Combien de temps avant que t'es le coeur qui saigne

Sincèrement, faut être plus sincère

Mentend tu, j'en fait moi même le serment

Plonge dans les abysses, l'or ici gênes

Au font la musique, sert d'oxygène

Ils ont ossez noircir le ciel

Ils devront aussi un jour voir moisir leur chaires

Est-ce moi, qui exagère?

Ou ce monde m'éxaspère

Ensemble on présèrve la terre

Ou a défaut de s'entendre, on préfère la guerre

Observe on est tous liés

La musique nous sert de bouclier

Embrassé à l'écart, embaré par les cages

On passent par les marécages.

Cette vie, manque d'angouement

Faut sortir de notre envoûtement

Ton esprit, semble mourant

Mais ton corps reste pris dans l'courant.

Vas-y nages, tu n'ira pas plus loin qu'le voisinage

J'vois l'final, tu pensais jamais avoir si mal

La vie m'a dit, prouves-moi que l'avenir à tort

J'navigue a risque, quitte à ravire la mort

Nos âmes périssent, trop des nôtres son amnésiques

Pas d'périples, tu sera bon qu'a ramené l'fric

À l'air d'la machine, la masse suis

Moi j'cherche encore, a savoir où est la magie

La j'parle de liens inexpliquables

Ça part de loin, mais c'est inévitable

J'crois qu'à virve ça, on est par millier

On croise des visages, qui nous semble famillier

La tête baisser, on s'regarde à peine

Une bête dresser, trouve rarement la paix

On dois tous ce libérer à notre facon

Avant quon étouffe et qu'on s'retrouve dans les bas fonts.